[00:00.000] 作词 : La Grande Dame
[00:01.000] 作曲 : La Grande Dame/Axel Saddier
[00:14.993]Tu m’offres une vie de malheurs，
[00:17.251]Une vie de fou, une vie de pleurs,
[00:19.101]Des mots d’amour, des maux du cœur，
[00:20.890]Les faux retours, les bouquets de fleurs,
[00:22.985]Tu me fais l’amour puis tu m’écœures，
[00:25.005]Tu refais le coup pour que je remeurs,
[00:27.028]Tu me fais la cour, tu me fends le cœur,
[00:29.040]Tu joues au fou, t’es qu’un menteur，
[00:31.800]J’ai, j’ai oublié le son de ta voix，
[00:39.119]Et ton parfum orange c’est comme si il n’existait pas，
[00:47.181]Je revois, difficilement ces traits Basquiat,
[00:55.153]Alors j’invente pour me souvenir de ce que t’es pas，
[01:02.816]Comme le fantôme d’un gars que l’on ne connaît pas，
[01:10.885]Tu sais comme je suis bon pour recréer ce qui n’existe pas，
[01:27.767]C’est ton odeur, c’est ton odeur，
[01:31.598]C’est ton parfum, c’est ton parfum，
[01:35.362]C’est ton odeur, c’est ton odeur，
[01:39.464]C’est ton parfum, c’est ton parfum，
[01:42.858]Tu m’as fait passer les six derniers mois dans le noir，
[01:50.944]Je t’aurais tout pardonné si à d’autres tu ne faisais pas boire，
[01:59.228]Les promesses dorées, les belles plagiées, phrases de tiroirs,
[02:07.006]De tous côtés, celles auxquelles j’ai bien voulu croire，
[02:31.189]C’est comme un écran quand les mots bleus ne sonnent que blancs，
[02:38.963]Alors j’apprends à passer mes journées sans toi，
[02:47.023]C’est juste dément de savoir que tu ne souffres pas，
[02:54.843]Pendant que j’avance comme un nuage qui ne pleut pas，
[03:19.694]C’est ton odeur, c’est ton odeur，
[03:23.489]C’est ton parfum, c’est ton parfum，
[03:27.504]C’est ton odeur, c’est ton odeur，
[03:31.533]C’est ton parfum, c’est ton parfum，
[03:38.312]J’ai, j’ai oublié le son de ta voix，
[03:43.335]Et ton parfum orange c’est comme si il n’existait pas，
[03:51.659]Je revois, difficilement ces traits Basquiat,
[03:58.973]Alors j’invente pour me souvenir de ce que t’es pas。

作词 : La Grande Dame
作曲 : La Grande Dame/Axel Saddier
Tu m’offres une vie de malheurs，
Une vie de fou, une vie de pleurs,
Des mots d’amour, des maux du cœur，
Les faux retours, les bouquets de fleurs,
Tu me fais l’amour puis tu m’écœures，
Tu refais le coup pour que je remeurs,
Tu me fais la cour, tu me fends le cœur,
Tu joues au fou, t’es qu’un menteur，
J’ai, j’ai oublié le son de ta voix，
Et ton parfum orange c’est comme si il n’existait pas，
Je revois, difficilement ces traits Basquiat,
Alors j’invente pour me souvenir de ce que t’es pas，
Comme le fantôme d’un gars que l’on ne connaît pas，
Tu sais comme je suis bon pour recréer ce qui n’existe pas，
C’est ton odeur, c’est ton odeur，
C’est ton parfum, c’est ton parfum，
C’est ton odeur, c’est ton odeur，
C’est ton parfum, c’est ton parfum，
Tu m’as fait passer les six derniers mois dans le noir，
Je t’aurais tout pardonné si à d’autres tu ne faisais pas boire，
Les promesses dorées, les belles plagiées, phrases de tiroirs,
De tous côtés, celles auxquelles j’ai bien voulu croire，
C’est comme un écran quand les mots bleus ne sonnent que blancs，
Alors j’apprends à passer mes journées sans toi，
C’est juste dément de savoir que tu ne souffres pas，
Pendant que j’avance comme un nuage qui ne pleut pas，
C’est ton odeur, c’est ton odeur，
C’est ton parfum, c’est ton parfum，
C’est ton odeur, c’est ton odeur，
C’est ton parfum, c’est ton parfum，
J’ai, j’ai oublié le son de ta voix，
Et ton parfum orange c’est comme si il n’existait pas，
Je revois, difficilement ces traits Basquiat,
Alors j’invente pour me souvenir de ce que t’es pas。