[00:00.00] 作词 : Louis Delort
[00:01.00] 作曲 : Louis Delort
[00:13.42]Alors que les jours duraient de plus en plus long
[00:18.85]J'ai enfin eu la chance de découvrir ton nom
[00:24.97]Alors qu'on dansait dans des tourbillons de sable
[00:30.97]J'ai enfin su qu'auprès de toi je serai capable
[00:36.96]J'ai décidé de jouer cartes sur table
[00:42.45]Et d'insuffler à notre petit jeu instable
[00:48.53]Quelques promesses que je savais pouvoir tenir
[00:54.17]Avec délicatesse, j'ai promis de t'appartenir
[00:59.94]C'était
[01:03.40]L'été
[01:03.70]Et tes yeux
[01:09.20]Brillaient comme le soleil
[01:12.13]De cet été
[01:15.52]Dans tes yeux
[01:20.84]Rien ne sera plus pareil
[01:23.65]A présent
[01:26.54]Que tu m'as brûlé le sang
[01:36.04]Nos corps à la mer, je découvre sous l'eau tes hanches
[01:42.17]Tu me tire la manche, prépare une douce vengeance
[01:47.83]Car mon coeur t'indiffère, suis-je bête d'aimer en vacances ?
[01:54.14]Tu ne veux que la danse, surtout pas la souffrance
[01:60.00]J'ai cru pouvoir nous retrouver un sens
[02:05.66]Une arabesque, un juste tour, une cadence
[02:11.54]Mais tu ne m'as pas laissé te retenir
[02:17.30]Avec le silence comme témoin, je t'ai vu partir
[02:22.89]Quand cet été
[02:26.46]S'est éteint
[02:31.70]Et mon sourire avec
[02:34.98]J'ai regretté
[02:38.58]Ces étreintes
[02:43.49]Rien ne sera plus pareil
[02:46.54]A présent
[02:50.39]Que tu m'as brûlé le sang

作词 : Louis Delort
作曲 : Louis Delort
Alors que les jours duraient de plus en plus long
J'ai enfin eu la chance de découvrir ton nom
Alors qu'on dansait dans des tourbillons de sable
J'ai enfin su qu'auprès de toi je serai capable
J'ai décidé de jouer cartes sur table
Et d'insuffler à notre petit jeu instable
Quelques promesses que je savais pouvoir tenir
Avec délicatesse, j'ai promis de t'appartenir
C'était
L'été
Et tes yeux
Brillaient comme le soleil
De cet été
Dans tes yeux
Rien ne sera plus pareil
A présent
Que tu m'as brûlé le sang
Nos corps à la mer, je découvre sous l'eau tes hanches
Tu me tire la manche, prépare une douce vengeance
Car mon coeur t'indiffère, suis-je bête d'aimer en vacances ?
Tu ne veux que la danse, surtout pas la souffrance
J'ai cru pouvoir nous retrouver un sens
Une arabesque, un juste tour, une cadence
Mais tu ne m'as pas laissé te retenir
Avec le silence comme témoin, je t'ai vu partir
Quand cet été
S'est éteint
Et mon sourire avec
J'ai regretté
Ces étreintes
Rien ne sera plus pareil
A présent
Que tu m'as brûlé le sang