[00:01.539]Un aigle noir a plané sur la ville
[00:05.514]Il a juré d'être victorieux
[00:09.774]De tous côtés,les corbeaux se faufilent
[00:13.749]Dans les sillons et dans les chemins creux
[00:17.998]Mais tout à coup,le coq gaulois claironne:
[00:21.987]Cocorico,debout petits soldats!
[00:25.973]Le soleil luit,partout le canon tonne
[00:29.962]Jeunes héros,voici le grand combat
[00:34.210]Et Verdun,la victorieuse
[00:38.460]Pousse un cri que portent là-bas
[00:42.746]Les échos des bords de la Meuse:
[00:46.950]Halte là!On ne passe pas
[00:50.936]Plus de morgue,plus d'arrogance
[00:55.184]Fuyez barbares et laquais
[00:59.435]C'est ici la porte de France
[01:03.422]Et vous ne passerez jamais
[01:08.395]
[01:09.455]Les ennemis s'avancent avec rage
[01:13.702]Énorme flot d'un vivant océan
[01:17.694]Semant la mort partout sur son passage
[01:21.679]Ivres de bruit de carnage et de sang
[01:25.926]Ils vont passer quand relevant la tête
[01:30.177]Un officier dans un suprême effort
[01:34.164]Quoique mourant crie à la baïonnette
[01:38.150]Hardi les gars debout debout les morts
[01:42.344]Et Verdun,la victorieuse
[01:46.592]Pousse un cri que portent là-bas
[01:50.844]Les échos des bords de la Meuse:
[01:55.091]Halte là!On ne passe pas
[01:59.077]Plus de morgue,plus d'arrogance
[02:03.328]Fuyez barbares et laquais
[02:07.576]C'est ici la porte de France
[02:11.827]Et vous ne passerez jamais
[02:17.428]
[02:17.956]Mais nos enfants,dans un élan sublime
[02:22.204]se sont dressés;et bientôt l'aigle noir
[02:26.191]la rage au cœur impuissant en son crime
[02:30.169]vit disparaître son suprême espoir
[02:34.417]Les vils corbeaux devant l'âme française
[02:38.403]tombent sanglants c'est le dernier combat
[02:42.654]pendant que nous chantons la Marseillaise
[02:46.641]les assassins fuient devant les soldats
[02:50.891]Et Verdun,la victorieuse
[02:55.139]Pousse un cri que portent là-bas
[02:59.389]Les échos des bords de la Meuse:
[03:03.638]Halte là!On ne passe pas
[03:07.888]Plus de morgue,plus d'arrogance
[03:12.137]Fuyez barbares et laquais
[03:16.123]C'est ici la porte de France
[03:20.373]Et vous ne passerez jamais

Un aigle noir a plané sur la ville
Il a juré d'être victorieux
De tous côtés,les corbeaux se faufilent
Dans les sillons et dans les chemins creux
Mais tout à coup,le coq gaulois claironne:
Cocorico,debout petits soldats!
Le soleil luit,partout le canon tonne
Jeunes héros,voici le grand combat
Et Verdun,la victorieuse
Pousse un cri que portent là-bas
Les échos des bords de la Meuse:
Halte là!On ne passe pas
Plus de morgue,plus d'arrogance
Fuyez barbares et laquais
C'est ici la porte de France
Et vous ne passerez jamais
Les ennemis s'avancent avec rage
Énorme flot d'un vivant océan
Semant la mort partout sur son passage
Ivres de bruit de carnage et de sang
Ils vont passer quand relevant la tête
Un officier dans un suprême effort
Quoique mourant crie à la baïonnette
Hardi les gars debout debout les morts
Et Verdun,la victorieuse
Pousse un cri que portent là-bas
Les échos des bords de la Meuse:
Halte là!On ne passe pas
Plus de morgue,plus d'arrogance
Fuyez barbares et laquais
C'est ici la porte de France
Et vous ne passerez jamais
Mais nos enfants,dans un élan sublime
se sont dressés;et bientôt l'aigle noir
la rage au cœur impuissant en son crime
vit disparaître son suprême espoir
Les vils corbeaux devant l'âme française
tombent sanglants c'est le dernier combat
pendant que nous chantons la Marseillaise
les assassins fuient devant les soldats
Et Verdun,la victorieuse
Pousse un cri que portent là-bas
Les échos des bords de la Meuse:
Halte là!On ne passe pas
Plus de morgue,plus d'arrogance
Fuyez barbares et laquais
C'est ici la porte de France
Et vous ne passerez jamais