[00:00.00] 作词 : Georges Brassens
[00:01.00] 作曲 : Georges Brassens
[00:09.11]Les gens qui voient de travers pensent que les bancs verts
[00:13.25]Qu'on voit sur les trottoirs
[00:15.82]Sont faits pour les impotents ou les ventripotents
[00:21.03]Mais c'est une absurdité car à la vérité, ils sont là c'est notoire
[00:27.70]Pour accueillir quelque temps les amours débutants
[00:31.95]Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
[00:36.43]Bancs publics, bancs publics
[00:39.95]En s'fouttant pas mal du regard oblique des passants honnêtes
[00:46.33]Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
[00:50.55]Bancs publics, bancs publics
[00:54.00]En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
[00:57.90]Ont des p'tites gueules bien sympatiques
[01:00.67]Ils se tiennent par la main, parlent du lendemain, du papier bleu d'azur
[01:07.45]Que revêtiront les murs de leur chambre à coucher
[01:11.75]Ils se voient déjà doucement, elle cousant, lui fumant
[01:16.48]Dans un bien-être sûre
[01:19.00]Et choisissent les prénoms de leur premier bébé
[01:23.00]Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
[01:27.50]Bancs publics, bancs publics
[01:31.00]En s'foutant pas mal du regard oblique des passants honnêtes
[01:37.35]Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
[01:41.50]Bancs publics, bancs publics
[01:45.00]En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
[01:48.80]Ont des p'tites gueules bien sympatiques
[01:51.65]Quand la sainte famille machin croise sur son chemin
[01:56.55]Deux de ces malappris
[01:59.10]Elle leur décoche hardiment des propos venimeux
[02:04.70]N'empêche que toute la famille, le père, la mère, la fille
[02:10.40]Le fils, le Saint Esprit
[02:13.00]Voudrait bien de temps en temps pouvoir s'conduire comme eux
[02:17.00]Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
[02:21.50]Bancs publics, bancs publics
[02:25.00]En s'fouttant pas mal du regard oblique des passants honnêtes
[02:31.30]Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
[02:35.50]Bancs publics, bancs publics
[02:39.00]En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
[02:42.90]Ont des p'tites gueules bien sympatiques
[02:45.60]Quand les mois auront passé, quand seront apaisés
[02:50.50]Leurs beaux rêves flambants
[02:53.00]Quand leur ciel se couvrira de gros nuages lourds
[02:58.30]Ils s'apercevront émus qu'c'est au hasard des rues
[03:03.00]Sur un d'ces fameux bancs
[03:05.50]Qu'ils ont vécu le meilleur morceau de leur amour
[03:09.50]Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
[03:14.00]Bancs publics, bancs publics
[03:17.50]En s'fouttant pas mal du regard oblique des passants honnêtes
[03:23.80]Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
[03:28.00]Bancs publics, bancs publics
[03:31.50]En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
[03:35.40]Ont des p'tites gueules bien sympatiques

作词 : Georges Brassens
作曲 : Georges Brassens
Les gens qui voient de travers pensent que les bancs verts
Qu'on voit sur les trottoirs
Sont faits pour les impotents ou les ventripotents
Mais c'est une absurdité car à la vérité, ils sont là c'est notoire
Pour accueillir quelque temps les amours débutants
Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tites gueules bien sympatiques
Ils se tiennent par la main, parlent du lendemain, du papier bleu d'azur
Que revêtiront les murs de leur chambre à coucher
Ils se voient déjà doucement, elle cousant, lui fumant
Dans un bien-être sûre
Et choisissent les prénoms de leur premier bébé
Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'foutant pas mal du regard oblique des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tites gueules bien sympatiques
Quand la sainte famille machin croise sur son chemin
Deux de ces malappris
Elle leur décoche hardiment des propos venimeux
N'empêche que toute la famille, le père, la mère, la fille
Le fils, le Saint Esprit
Voudrait bien de temps en temps pouvoir s'conduire comme eux
Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tites gueules bien sympatiques
Quand les mois auront passé, quand seront apaisés
Leurs beaux rêves flambants
Quand leur ciel se couvrira de gros nuages lourds
Ils s'apercevront émus qu'c'est au hasard des rues
Sur un d'ces fameux bancs
Qu'ils ont vécu le meilleur morceau de leur amour
Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tites gueules bien sympatiques